Table des matières
La première intervention publique dans ce type de logement remonte à la moitié du XIXe siècle. Auparavant, elle n’avait que quelques objectifs : lutter contre l’insalubrité, résoudre les problèmes de logement, maîtriser l’exode rural. Mais, quelques années plus tard, des lois sont sorties pour limiter l’acquisition d’un HLM.
Les types de logements HLM
En France, environ 89 % des logements sociaux sont tous des HLM, mais comment obtenir un HLM ? Déjà, il faut savoir qu’il y a trois types d’habitats pour les logements sociaux :
- Les logements PLAI : on les appelle aussi Prêts locatifs aidés d’intégration. Ils sont réservés aux acquéreurs ayant une situation financière très difficile.
- Les logements PLUS : on les appelle aussi Prêts locatifs sociaux. Ils sont constitués par les logements HLM traditionnels.
- Les logements PLS : on les appelle aussi Prêts locatifs sociaux. Ils sont attribués aux preneurs avec des ressources très élevées pour bénéficier d’un ordinaire HLM, mais par contre, trop bas pour habiter dans un appartement ou un parc immobilier privé.
Cependant, les logements sociaux construits, acquis et rénovés par les organismes HLM reçoivent un par financier de la part de l’État.
Les conditions d’obtention d’un logement social
Toute personne de nationalité française peut acquérir un logement social. Mais aussi, les étrangers qui séjournent régulièrement en France (ayant une carte de résident) ont aussi cette opportunité.
Cependant, comme le concept est d’assurer un équilibre aux populations par une politique à vocation solidaire, il existe des plafonds de revenus qu’on doit respecter. Ces plafonds se réfléchissent aux montants de revenus annuels qu’on impose ajouter à ceux des personnes vivant dans le même foyer. Précisément, il correspond aux revenus que les personnes qui composent le ménage ont perçus dans les deux dernières années. Néanmoins, on prend aussi en compte les baisses de revenus pendant les 12 derniers moins qui précèdent la date de signature du contrat.